PETITION

Pétition et proposition d’initiative populaire pour

la NON-RECONNAISSANCE

des diplômes et des titres universitaires français en Suisse

Par un accord issu du rapprochement entre la Conférence des Présidents d'Université <français> et leurs homologues helvétiques en 2008, la Suisse est devenue otage de son voisin-monstre, cette Ve république française, plus grand pays de l’UE : la quasi-totalité des diplômes français, doctorats et titres de maîtres de conférences ainsi que ceux de professeurs universitaires, font concurrence à nos diplômes nationaux.

Cette concurrence universitaire française est totalement déloyale et les diplômes universitaires français, représentent même un danger réel pour la structure civique suisse, ces diplômes étant valables naturellement dans les cantons tant francophones que germanophones, bilingues ou au Tessin.

Nous proposons de supprimer le système d’équivalence automatique pour tous les diplômes universitaires français en Suisse.

Nous proposons également une non-reconnaissance totale des titres universitaires français (maître de conférences, professeur) sur le territoire de la Confédération helvétique.

En l’absence de telles mesures, nous ne pourrons que déplorer, dans quelques années, une situation catastrophique sur marché du travail en Suisse, laquelle sera accompagnée de la ruine immédiate de notre Université helvétique : la Suisse et son Université seront rapidement submergées de « diplômés » (titulaires du baccalauréat français quasi illettrés, centaines de milliers de « docteurs », de « maîtres de conférences » et de « professeurs » de nationalité française, flanqués de millions d’étrangers, souvent extra-européens, promus en France pour des raisons syndicales, politiques, idéologiques, familiales, ...), toute une armada dont le niveau scientifique est bien moindre, depuis plusieurs décennies, que celui de nos universitaires suisses.

Le processus d’invasion de la Suisse par les « diplômés » français est déjà largement entamé. Notre Pétition et future Initiative Populaire qui en résultera vise à interrompre cet envahissement. Pour que les Suissesses et les Suisses soient correctement informés, il nous appartient de décrire, en bref, le désastre universitaire français ainsi que de mentionner les réseaux par lesquels il contamine les facultés helvétiques, menaçant le marché du travail suisse :

Depuis plusieurs décennies, ce ne sont plus des savants soucieux de la Science qui régissent l’Université française, mais des fonctionnaires-idéologues, membres d’un syndicat communiste qui s’est séparé – uniquement sur le papier cependant – du Parti communiste français 15 ans après la chute de l’URSS !

Que diraient nos compatriotes Suisses si, en 1960, ils avaient été forcés d’accepter sur le territoire helvétique  des diplômés issus de cette Université allemande gérée par le Nationalsozialistische Deutsche Dozentenbund – ce syndicat universitaire nazi – et cela, malgré la chute du régime hitlérien 15 ans auparavant !? Et si, en plus, ces diplômés avaient reçu leur passe-droit grâce à leur stricte fidélité à la doctrine nazie ? C’est pourtant le quotidien de l’Université française administrée de facto par une idéologie bien plus meurtrière que le nazisme !

À qui, selon vous, ces idéologues acharnés délivrent-ils les diplômes universitaires, jusqu’au doctorat ? Mais surtout, qui promeuvent-ils aux postes de maîtres de conférences et de professeurs – titres français à ce jour couramment acceptés en Suisse ? Evidemment leurs semblables, et uniquement ceux-là ! En effet, ces idéologues ne sont guidés que par des raisons doctrinales qui les poussent à offrir le baccalauréat, cette « maturité » française, à quasi neuf lycéens sur dix : pour ces commissaires politiques, tous doivent être bacheliers ! Dès lors, forts de ce premier diplôme universitaire ouvrant l’accès, sans examens d’entrée, à de nombreuses facultés – suisses également, suivant les accords bilatéraux ! –, ces illettrés hautement idéologisés concurrencent déjà les Suissesses et les Suisses sur notre marché! Quant à la fameuse « agrégation » – cet orgueil de l’Université française –, elle est devenue, depuis des décennies, un entrainement au psittacisme pour des « spécialistes » possédant par ailleurs la culture générale d’adolescents de 13 ans.

Les quelques vrais scientifiques de l’Université française, marginalisés, plient piteusement devant le terrorisme des commissaires politiques, adorateurs – souvent ouvertement ! – des fondateurs des camps les plus atroces dans l’histoire de l’humanité.

N’oublions pas que cette pseudo-élite régissant actuellement l’Université française – d’abord issue d’une minorité agissante pour devenir, au fils des décennies, majoritaire – est l’unique responsable du désastre civique pré-insurrectionnel en France : corruption couramment acceptée digne d’une république bananière, mandarinat des gourous médiatiques à peine lettrés qui poussent la France vers des conflits « humanitaires » internationaux, chômage qui atteint déjà – sans tricherie institutionnelle des statistiques – une personne active sur quatre, immigration incontrôlée (sujet tabou car les Français ne possèdent pas de levier démocratique pour se prononcer sur le fléau qui a fait de la France une colonie de ses anciennes colonies), criminalité galopante et ingérable depuis des années (faute de places dans les prisons) ; surendettement grevant les quatre prochaines générations (les revenus de la France ne lui permettant que de s’acquitter des intérêts des prêts qu’elle a contractés), « justice » hautement idéologisée et outil de répression d’opinions dissidentes, etc.

C’est l’Université française, fief du népotisme et des promotions idéologiques ou sexuelles, qui est pleinement responsable du désastre de notre monstre-voisin, désastre à peine dissimulé par les médias français, malheureusement suivis en Suisse romande, subventionnés par le gouvernement et donc muselés. Car la France a cessé d’être un « pays de liberté » depuis des décennies : selon les statistiques de « Reporteurs sans frontières », le colosse francophone, donneur de leçons de morale au monde entier et voisin de la Suisse, se situerait – en matière de liberté d’expression – entre le Botswana et la Tanzanie. C’est la raison pour laquelle la pseudo-élite française vomit littéralement le Peuple Suisse chaque fois qu’il prend son destin en mains et applique ses libertés ancestrales – cette Initiative Populaire à laquelle nous appelons la Suisse par notre Pétition afin de barrer la route aux diplômés et aux universitaires français jusqu’à présent égaux en droit avec les Nationaux sur le territoire helvétique !

Car une fois la France démolie, ces idéologues sans principe s’abattront sur la Suisse dont ils vomissent le fonctionnement civique, les mentalités, les libertés ! Notre pays se retrouvera dans une situation analogue à celle qui adviendrait si, après la chute du régime de la Corée du Nord, les généraux de Pyongyang arrivaient à Berne et y recevaient automatiquement des grades équivalents dans l’Armée suisse ! Ladite situation n’est nullement utopique. Car cette stratégie se déclenchera tout naturellement dès que la crise explosera la France, ce mammouth de l’UE. Combien de mois nous reste-t-il à attendre cette catastrophe ?!

Il vous paraît exagéré de comparer un état terroriste  tel que la Corée du Nord et les gouvernants de l’Université française ?! Pourtant, souvenez-vous que ce « terrorisme » que le monde occidental pourchasse – et à juste raison ! – est né en France, et plus précisément au lendemain de cette « révolution française » tant glorifiée chez notre voisin occidental devenu gueux à la force de donner des leçons de morale ! Or, les Terroristes de 1793, soviétisés depuis les années vingt du siècle passé, puis devenus maoïstes, administrent l’actuelle Université française, naturellement d’abord soucieux de leur propre promotion, puis de celle de leurs camarades. Par ailleurs, la condition sine qua non pour être diplômé par ces idéologues est la conformité doctrinale, et ce, dès la "maturité" française ! Voilà l’origine des millions de khmers rouges francophones détenteurs de diplômes valides en Suisse et prêts à dévaster notre pays qu’ils haïssent instinctivement – ce dès que la catastrophe économique et sécuritaire française, que l’Université française couve depuis longtemps, éclatera.

Quelle est l’arme la plus redoutable de cette France gâtée ? Son arrogance démesurée ! Ce n’est donc pas par l’argent mais par cette arrogance phénoménale que les fonctionnaires de l’Université française tiennent quelques confères suisses, ces « chevaux de Troie » qui fournissent aux doctrinaires français des laisser-passer vers l’Université helvétique : invités à des événements « scientifiques » en France, ces Suisses sont utilisés par d’habiles manipulateurs français afin que ces derniers puissent piller l’Université helvétique, richement subventionnée par des mécènes et la Confédération ! La tactique française est toujours la même. Et l’Université suisse est depuis quelques années astucieusement pillée, via de pseudo-programmes « de recherches », par des escamoteurs usant toujours du même schéma afin d’accéder à nos fonds, parvenant grâce à cela à détourner des millions de francs !

Les auteurs de cette Pétition disposent de dizaines d’exemples flagrants de ce pillage de l’Université suisse par des Français qui recourent à ce procédé. Et cela durera tant que le système français se maintiendra grâce à l’endettement de la France, lequel endettement permet de payer une horde de fonctionnaires. En revanche, une fois que se sera effondrée la Ve république française et que, par conséquent, l’escroquerie pseudo-scientifique sera devenue inutile, le marché du travail helvétique sera ouvertement saccagé. Notre Pétition et l'Initiative populaire qui s'ensuivra constituent l’unique barrage aux déferlements inéluctables de « diplômés » et d’universitaires français à travers la Suisse !

L’initiateur de cette Pétition, Anatoly Livry est lui-même Suisse mais docteur français, auteur de quatorze livres étudiés dans les universités et a lui-même enseigné dans deux universités françaises. Reconnu par des dizaines de grands centres scientifiques européens et américains, lauréat de trois prix internationaux et disposant d’une bibliographie scientifique surpassant celle de nombreux professeurs universitaires, il offre à ses compatriotes suisses son expérience de plus de quinze ans dans l’Université française. Le précieux dossier réuni par Anatoly Livry sur l’Université française comporte plus de mille pièces : preuves flagrantes de corruption, de népotisme, d’acharnement administratif, de nominations aux postes sur des bases idéologiques, syndicales, sexuelles, vols et escroqueries, falsifications et autopromotions ministérielles, folie furieuse s'exprimant ex cathedra, etc. Ce travail lui a valu d’accéder au poste de Président pour la France de l’ONG « World without Corruption 2011 – 2020 » adoubée par l’ONU.

Anatoly Livry offre – à son détriment – le dossier susmentionné estimant que son devoir civique envers la Confédération helvétique prime sa propre carrière : prévenir les pouvoirs en place de la menace imminente que représente pour la Suisse l’Université française et les « diplômés » que cette dernière fabrique constamment et ainsi offrir à la Suisse les moyens de se défendre contre le système français, pervers et appauvri, c’est préserver la Suisse d’un danger mortel qui se trouve à ses portes.

Pour participer à la Pétition ainsi que prendre contact avec ses auteurs : http://anatoly-livry.e-monsite.com/contact ou site.livry@gmail.com.

Anatoly Livry réfléchit cette Pétition depuis des mois. Il a cependant attendu, pour la lancer, la décision du Peuple Suisse concernant l’arrêt de l’immigration de masse du 9 février 2014. L’a également poussé à agir l’acharnement flagrant et démesuré qu’a à subir le Peuple Suisse de la part de cette Université française, unique fabriquant de la pseudo-élite de France.

Lançant cette Pétition, Anatoly Livry met à nu les attentes les plus intimes d’un système français, arrogant et gueux, qu’il connaît de l'intérieur et analyse depuis plus d’une décennie. La réponse de la corruption française a été, naturellement, immédiate : pour avoir prévenu le Peuple Suisse, Dr Anatoly Livry est victime, en France, d’un acharnement inouï (acharnement qui vient, par ailleurs, enrichir son dossier sur l’Université française).

Néanmoins, cette action a besoin de votre soutien financier, l’argent étant le nerf de la guerre, cette guerre des plus nobles pour la survie du Peuple Suisse.

N'hésitez pas à soutenir l'action d'Anatoly Livry via le bouton Paypal de ce site.